Le site de La Véronnière était présenté à l’issue de la prospection comme un indice d’habitat de la Tène finale. Cette évaluation aura confirmé la présence de restes de constructions à ossature bois. Environ dix-sept structures archéologiques ont été repérées, leur étude a démontré qu’il s’agissait d’impacts de trous de poteau dont la disposition et les caractéristiques laissent raisonnablement envisager un ou deux bâtiments de plans très simples et ayant une vocation agricole. Un col d’amphore Dressel 1 permet de proposer la datation énoncée plus haut.